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Composez votre propre blend en choisissant vos saveur parmi nos savoureux cafés.
- Yrgacheffe – Ethiopie à 4.00 les 100 g
- Sidamo – Ethiopie à 3.30 les 100 g
- Supremo – Colombie à 3.50 les 100 g
- Parchement Royal – Inde à 2.00 les 100 g
- Café Sauvage Kaffa – Ethiopie à 4.00 les 100 g
- Bourbon – Brésil à 3.50 les 100 g
Ce Moka Yrgacheffe tient toutes ses promesses : un nez très citronné, une belle attaque sur la citronnelle, et une longueur sur des notes florales (jasmin). On lui retrouve également des notes de thé noir et de bergamote.
Torréfié clair, il est aussi complexe en méthode douce qu’à l’espresso ; même si pour cette dernière, nous conseillons un palais habitué aux cafés typés car l’attaque peut être déstabilisante lorsque l’on ne connait pas les cafés d’altitude. Mais cela vaut le détour !
Un vrai “Yrga” pour lequel nous avons une traçabilité assurant sa provenance du village d’Yrgacheffe.
Le café Moka Sidamo est cultivé dans la province du même nom au sud de l’Éthiopie. Il est unanimement reconnu comme le plus fin et le plus racé des cafés Moka. Berceau légendaire du café, pays où il fût pour la toute première fois commercialisé dans l’histoire, l’Éthiopie cultive exclusivement l’arabica à des altitudes situées entre 1500 et 2300 mètres d’altitude. On appelle les cafés éthiopiens des « Moka » car ils étaient autrefois exportés depuis le port de Moccha au Yémen, dans la péninsule arabique.
Le « Supremo » et est considéré comme le café le plus réputé de l’Amérique du Sud.
Ce café pure origine provient de Colombie.
Cultivé dans une région caractérisée par ses vallées fertiles et ses volcans enneigés, le café Supremo est réputé pour sa rondeur et sa longueur en bouche.
Ce café d’origine unique est cultivé dans la région de Huila. Cette région est connue pour ses volcans enneigés. Par conséquent, ce café est connu pour sa rondeur et sa saveur persistante avec un nez fruité et sa douce acidité avec des notes de cerise, chocolat noir et orange.
La Colombie Supremo fait partie du projet d’Indication géographique protégée (IGP). L’Union européenne a commencé par protéger les noms de produits spécifiques afin de promouvoir leurs caractéristiques uniques, liées à leur origine géographique et au savoir-faire traditionnel.
Le café Colombie Supremo provient de petites et moyennes entreprises familial. Les exploitations sont situées dans la ville de Pereira dans le département de Risaralda en Colombie. Le café est cultivé dans des exploitations d’une superficie moyenne d’environ 2,5 hectares. Les producteurs sélectionnent et traitent le café dans leurs propres fermes, puis le sèchent, généralement sur des tables surélevées à l’intérieur de séchoirs solaires qui les protègent des pluies presque continues.
Café du corps remarquable et douceur, des notes de chocolat au lait et de céréales grillées. Dans une note épicée léger arrière-goût couvrant la légère pointe de Woody typique de ces cafés.
In den letzten verbliebenen Bergregenwäldern der äthiopischen Provinz Kaffa, dem Ursprung des Coffea Arabica, wächst noch heute wilder Kaffee. Ohne Plantage, ganz natürlich und mit unglaublichem Aroma. In den letzten Bergregenwäldern der äthiopischen Provinz Kaffa, der Urheimat des Coffea Arabica, wächst noch heute wilder Kaffee, ganz natürlich und ohne Plantage. Doch dieser genetische Naturschatz droht durch die zunehmende Abholzung des Waldes verloren zu gehen. Dem wirkt das Wildkaffeeprojekt bewusst entgegen: mit dem Sammeln und dem Verkauf von wildwachsendem Arabica-Kaffee erwirtschaften über 6000 Bauern ein sicheres Einkommen aus dem Wald und können die Lebensbedingungen ihrer Familien nachhaltig verbessern. Dank den natürlichen Wachstumsbedingungen und den niedrigen Erträgen konzentriert sich in den wilden Arabica-Bohnen ein Aroma, welches ein Plantagen-Kaffee nie erreichen kann. Über die Jahrtausende hat die Natur mehr als 5000 Varietäten der Wildsorte hervorgebracht, ideal angepasst an Bodenbeschaffenheit, Mikroklima und Höhenlage. Selbst Wildkaffees von benachbarten Waldgebieten können deshalb ganz unterschiedlich schmecken, manche fruchtig, andere kräftig herb, wieder andere leicht und blumig.
Äthiopiens Bevölkerung wächst rasant und immer mehr Waldflächen werden aufgrund des steigenden Bedarfs an Acker- und Weideland abgeholzt. In der Provinz Kaffa stehen nur noch 200’000 Hektar intakter Bergregenwald und die gesamte Waldfläche Äthiopiens ist von einst 40% auf schockierende 2.7% geschrumpft. Verschwindet der Regenwald von Kaffa, geht auch die einzige genetische Ressource der Arabica-Pflanze verloren, welche für die Entwicklung neuer Kaffeesorten von enormer Bedeutung ist. Neben dem Verlust einer einzigartigen Pflanzen- und Tierwelt, hat die Abholzung des Regenwaldes als wichtiger CO2- Speicher auch dramatische Folgen für unser Klima und die Ernährungssituation der lokalen Bevölkerung. Mit dem Wildkaffee-Projekt erhält der Wald einen ökonomischen Wert für die Bauern. So kann dieser mit seiner einzigartigen Biodiversität und dem wertvollen Wildkaffeebestand als natürliche Ressource erhalten werden.
C’est seulement en 1727 que le premier caféier fut planté au Brésil ou il a été importé de Guyane Française dans le nord du Brésil par un marin Portugais du nom de Francisco de Mello Palheta qui aurait utilisé ses charmes pour convaincre une dame en Guyane française de lui donner des échantillons de café, qui ont ensuite été introduits illégalement au Brésil.
Ces graines auraient changé l’histoire du pays. À l’époque, l’économie brésilienne était basée sur la production de sucre dans les États du Nord-Est, produit du travail des esclaves.
L’esclavage a continué, mais la production s’est déplacée vers les États du sud où la culture du café semblait mieux adaptée.
La culture du café occupa rapidement une place importante dans l’économie brésilienne.
À la fin du XVIIIe siècle le Brésil bénéficia d’une crise en Haïti – le premier exportateur de café – pour accroître sa production et augmenter ses exportations. A cette époque, le café possédait déjà une valeur commerciale inestimable. Étant donné le climat favorable aux plantations, sa culture s’étendit rapidement dans d’autres régions encore non exploitées, comme l’actuel État de Rio de Janeiro.
Le développement de la culture du café était étroitement lié aux disponibilités de la main d’oeuvre, ce qui fut la cause de la déportation de nombreux esclaves. Ultérieurement, après l’abolition de l’esclavage (1888), l’état de São Paulo lança un projet favorisant l’entrée des immigrants européens (beaucoup d’Italiens) afin de travailler dans les plantations de café.
Plantations :
Les plantations de café couvrent environ 2.9 millions d’hectares du pays. Des quelques six milliards d’arbres, environ 85% produisent de l’arabica et 15% du robusta de type Conillon. Même si 17 des 26 états du Brésil produisent du café, les états de São Paulo , Minas Gerais Espirito Santo, Bahia et Paraná sont les plus grands producteurs en raison de paysages adaptés, d’un climat favorable et d’un sol riche et propice à la culture du café. La plupart des plantations sont récoltées pendant la saison sèche de Juin à Septembre.
Comme dans d’autres pays producteurs de café, le Brésil a une grande population impliquée dans la culture. Quelques 3,5 millions de personnes sont impliquées, principalement dans les zones rurales, ce qui génère sept millions d’emplois directs et indirects.
Le Brésil est le seul grand producteur de café qui peut être soumis à des gelées et les grandes gelées dévastatrices de 1975 et 1994 avaient grandement entamées la production durant ces 2 années et avaient entraîné de très fortes hausses de prix à travers le monde. Les plantations restent à une altitude assez moyenne jusqu’à environ 800 mètres.
Altitude : de 200 à 800 mètres